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Les bonnes pratiques, retour d’expériences

  • Une volonté politique forte,
  • Être ambitieux, savoir s’entourer,
  • Être innovant !
  • S’appuyer sur l’histoire, les traditions locales : les patronages, les foyers de jeunes…,
  • Prendre en compte les besoins de proximité communale et proposer des services au plus près des habitants y compris dans une logique intercommunale,
  • Prendre en compte les animations de la commune, la fête de la musique, les soirées, les vides-greniers, les rallyes pédestres.
  • Travailler en binôme élu-professionnel, dans la proximité, chacun enrichit l’autre, chacun légitime l’autre,
  • Sensibiliser et former les élus à la politique jeunesse, à la fonction et au rôle de l’animateur,
  • Conserver un dialogue permanent et se frotter au terrain : passer du temps avec les animateurs, avec les jeunes.
  • Identifier un coordonnateur, professionnel de la jeunesse,
  • Conventionner avec une association locale, un centre social, une fédération d’éducation populaire,
  • Associer les forces vives du territoire, les bénévoles de chaque commune.
  • Imaginer la mobilité : du matériel, des équipes, des équipements (caravanes, rangement du matériel, cyber radio, des intervenants qui conviennent aux jeunes…).
  • La mobilisation des parents, autour des associations de jeunes, des foyers, est une grande richesse.
  • Permettre aux jeunes de s’approprier le projet, de s’approprier le local, ne pas faire à leur place
  • Tenir compte de ce que veulent les jeunes, chaque génération ayant des souhaits différents.
  • La proximité des accueils en favorisant le « multi sites »,
  • Régularité de la présence des animateurs, qu’ils soient visibles !
  • La polyvalence des animateurs.
  • L’intercommunalité est très porteuse, et inversement la politique jeunesse facilite l’intercommunalité : mutualiser et partager les idées et les ressources sont la force du milieu rural,
  • Visiter d’autres structures, notamment celles qui emploient des professionnels.

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